Tour Du Chapeau: Canadiens

<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgstCrGbvZfD54zLzXT5UuLkQBFMwU-nTpjyJnItV0eWkoLw3xvEbvf9BUTk6515JOdUqXnVq8EJtMSbPid0PjxUN1R5cZOdt2v5gvW9mTd9k1H1I45SWbRbDwTQEY4XmIvosKwubiT-g/s1600/8630516.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><span style="color: black; font-family: inherit;"><img border="0" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgstCrGbvZfD54zLzXT5UuLkQBFMwU-nTpjyJnItV0eWkoLw3xvEbvf9BUTk6515JOdUqXnVq8EJtMSbPid0PjxUN1R5cZOdt2v5gvW9mTd9k1H1I45SWbRbDwTQEY4XmIvosKwubiT-g/s320/8630516.jpg" width="320" /></span></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: inherit; font-size: xx-small;">Desharnais peine à imposer son jeu depuis le début de la</span><br />
<span style="font-family: inherit; font-size: xx-small;">campagne</span></td></tr>
</tbody></table>
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<span style="font-family: inherit;">De nombreux joueurs ayant porté la chandail de la Sainte-Flanelle ont connu des passages à vide, donnant des munitions aux partisans charognards toujours sur leur dos. La bourde de Ryan O'Byrne et les contreperformances de Scott Gomez ont tous été à l'origine des copieuses huées de la foule. Est-ce le sort tragique qu'attend David Desharnais?</span></div>
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<b><span style="font-family: inherit;">Gomez prise 2?</span></b></h3>
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<span style="font-family: inherit;">Un point… Le nombre de points amassé par la recrue Nathan Beaulieu en 5 rencontres. C’est également la production de David Desharnais avec 3 fois plus de matchs en main. Le joueur de centre de petite carrure avait démenti les sceptiques dans la campagne de 2011-2012 affichant 60 points en 81 matchs, un des rares points positifs de la saison alors que le Tricolore sombrait au bas de la cave. Depuis, les étincelles se font rares et le départ précipité d’Erik Cole freine drastiquement sa production. Desharnais était la véritable bougie d’allumage du trio qu’il formait avec Pacioretty et Cole et la présence de René Bourque dans la formation ne semble pas combler cette perte. Reconnu par sa créativité offensive, il préparait les jeux avec brio et n’hésitait pas à mettre son nez dans le traffic.  On ne fait plus du tout allusion au même joueur. </span></div>
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<b><span style="font-family: inherit;">De joueur à spectateur</span></b></h3>
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<span style="font-family: inherit;">Comble de malheur, il a été lancé dans la mêlée à une seule occasion en 3ème période face à la troupe de Casseau. Éventuellement, il pourrait très bien regarder le match sous une autre perspective soit, les gradins. On se doute fort bien que le directeur général Marc Bergevin songe à l’échanger mais il ne faut pas trop espérer en retour sâchant que sa valeur marchande ne cesse de régresser. A-t-il encore sa place dans l’équipe? Seul l’avenir nous le dira.</span></div>

Baisse de régime cauchemardesque

Desharnais peine à imposer son jeu depuis le début de la campagne De nombreux joueurs ayant porté la chandail de la Sainte-Flanelle on...

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg6sR7kBGnkSEw4mU0oy7YEyOlzmCBvpRL5FZSWcTroBKuXTL9OahOnWGuGYkcfPs3HjfNU4WVZk8UWab8qAgIT1fTcyPOOaw8U1ehqH-9A9rOlKpJYYc_1j2VdoCcsk9VTlQVMUGt2cg/s1600/1993-stanley-cup-roy.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: justify;"><span style="color: black;"><img border="0" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg6sR7kBGnkSEw4mU0oy7YEyOlzmCBvpRL5FZSWcTroBKuXTL9OahOnWGuGYkcfPs3HjfNU4WVZk8UWab8qAgIT1fTcyPOOaw8U1ehqH-9A9rOlKpJYYc_1j2VdoCcsk9VTlQVMUGt2cg/s320/1993-stanley-cup-roy.jpg" width="320" /></span></a><span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; text-align: justify;"><b>La dynastie que forme le Tricolore il y a de cela un siècle a su inspiré une jeunesse québécoise fougueuse. Les standards établis au fil des années par de tels accomplissements agissent néanmoins tel un couteau à double tranchant. Cependant, il y a un espoir auquel on peut fermement s’accrocher</b></span><br />
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<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Au coeur de chaque patinoire municipale, de jeunes hockeyeurs à leur premiers coups de patin s’élancent vers le filet adverse, tentant d’imiter les prouesses du démon blond. Les récits que leur divulgue leurs parents à propos du Canadien de Montréal, dans son élan de gloire d’antan, restent ancrés dans leur mémoire et monopolisent leur pensées. Les grand-parents de l’enfant ont fait de même avec ses parents, les témoignant des exploits surhumains réalisés par Maurice Richard. Dans les familles ou le hockey s’apparente à une véritable religion, l’histoire de la Sainte-Flanelle est ainsi un héritage transmis à travers les générations au même titre que la Bible. Cette bataille acharnée pour loger le disque de caoutchouc vulcanisé dans le fond du filet peut sembler bien banale aux yeux de certains mais, elle constitue, en quelques sortes, la fierté nationale québécoise. Cette ampleur que le hockey sur glace a prise dans la société est également le fruit des avalanches de lamentations des fans envers le Canadien, tel qu’on le connait aujourd’hui. </span></div>
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<b style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Le poids de 24 trophées</b><span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"> </span></h3>
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<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Il a de cela 20 ans, la troupe de Jacques Demers, mené par la soif de victoire de Patrick Roy, mettait la main sur la prestigieuse coupe de Lord Stanley. Cette dernière conquête marquait le début de la fin. Le Canadien de Montréal adopte alors une nouvelle structure, un alignement ou les québécois ne se font plus autant nombreux. Le nouveau visage de l’organisation comprend des joueurs de toutes nationalités rassemblés dans l’espoir vain de répéter les exploits du passé. La couverture médiatique se fait de plus en plus envahissante et les fans cherchent désespérément une lueur d’espoir dans chaque faits et gestes de leur équipe. Cette passion excessive pour une organisation tant chérie à travers le temps fait maintenant office de couteau à double tranchant. Certains joueurs québécois boudent Montréal au profit de plus grandes sommes d’argent ou tout simplement pour avoir la paix. Dans de pareils circonstances, c’est à se demander quand le Bleu Blanc Rouge pourra utiliser cette foule plus qu’endiablée à son avantage en remportant les grands honneurs. </span></div>
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<b style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">La lumière au bout du tunnel</b><b style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"> </b></h3>
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<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Depuis l’arrivée de Michel Therrien et Marc Bergevin avec l’organisation, de nombreux signes encourageants se font sentir. La nouvelle génération que constitue les Canadiens est destiné à un avenir très prometteur. Le futur c’est Alex Galchenyuk, Brendan Gallagher, P.K Subban ainsi que Carey Price. Des individus qui, non seulement regorge de talent mais qui ont du coeur. Le coeur ça ne s’achète pas, c’est quelque chose d’inné. Le Canadien de Montréal se rebâtit avec des gagnants. Si le personnel veille au bon cheminement de leurs progressions, l’équipe s’établira en tant que menace dans la ligue. Il faut avant tout être patient.</span></div>
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<span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;">Les fantômes du forum peuvent reposer en paix, en autant que la relève prenne les choses en main.</span></div>
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Le fardeau des succès

La dynastie que forme le Tricolore il y a de cela un siècle a su inspiré une jeunesse québécoise fougueuse. Les standards établis au fil ...